L’enfance de Maleville est bercée par le cadre romantique et sévère du château de Fénelon à Sainte-Mondane d’où il apprécie la vue dégagée sur la vallée de la Dordogne, à jouer sur les hauteurs des remparts. Ce cadre nourrit sa sensibilité pour la conservation du patrimoine naturel et architectural dont il témoignera dès les années 1920 avec ses croquis de ruines dans les alentours du Pays de Fénelon.
C’est à Fénelon que Maleville est initié au patois, la langue de sa nourrice Miette, qu’il parle et entretient. Jeune enfant, il y reçoit les leçons de son précepteur, l’abbé Lambert.