Il grandit dans le cadre tout à la fois sévère et romantique du château de Fénelon que son père a entrepris de restaurer, aux confins du Périgord et du Quercy, à galoper sur les remparts et écouter les contes en patois de la vieille servante, Miette – la langue d’oc est d’ailleurs sa langue maternelle.
A l’âge de neuf ans, il est confié pour faire ses petites études à l’abbé Lambert, curé de Saint Julien-Lampon.
Il poursuit ses études secondaires au collège des Jésuites de Sarlat où il reçoit une solide culture littéraire (il émaillait très souvent ses propos de citations latines) et une initiation au dessin.