Ici comme partout, il faudra faire abstraction de ces crimes de lèse-paysage qui sont : les routes peintes à l’encre violette, les arbres peints en blanc, la tuile mécanique et le ciment armé.
Le sacrifice accompli, on se trouve en présence d’un pittoresque inimaginable. La moindre promenade est un enchantement. Tout est prévu, tout est séduisant.
Comment Lucien de Maleville voit le Périgord. Extrait d’un entretien avec Lucien de Maleville, Edme Goyard, La France de Bordeaux et du Sud-Ouest, 29 avril 1938