« Les monuments, les arbres, tout ce qui est vertical et a été apporté par la main de l’homme peut être sacrifié si le tableau y gagne… mais non seulement cela : diminuer une montagne de volume, supprimer un rocher gênant, tout cela est permis. Il n’y a qu’une seule chose dont il faut rester l’esclave : c’est la lumière. Mépris total des objets. Respect profond de la lumière sur les objets. »
Lucien de Maleville
Extrait « La plus grande liberté avec la nature », Note d’art n° 6 (avril 1930-octobre 1933)